Collagène et Erzebeth Bathory
Des entreprises chinoises prélèvent le collagène des chairs de condamnés et de foetus avortés et le vendent aux sociétés de produits cosmétiques pour la fabrication de produit de beauté. Il existe un vide dans la réglementation qu'utilisent ces entreprises, mais les autorités chinoises se veulent rassurantes : il est impossible de prélever la peau ou tout autre partie du corps de condamnés à mort sans que ceux-ci donnent leur consentement. Ceci dit, il est connu que ni ne dit mot consent. Dans l'attente d'une réglementation européenne, va-t-on voir fleurir des avertissement sur nos petits pots de crèmes ?
source : Courrier International, citant le Guardian
Erzebeth Bathory, 1560 - 1614, surnomée la comtesse sanglante, a marqué les esprits durablement en raison de ses crimes inouis. Les scéances de torture auxquelles elle s'adonnait lui permettait de donner libre cours à ses penchants lesbiens et sadiques tandis que le sang de ses victimes était recueilli en vue d'ablutions destinées à entretenir sa surnaturelle beauté. Apparentée à deux des plus importantes familles de son temps, son procès ne fut pas rendu public et elle fut confinée en son chateau, dans lequel elle mourrut, quatre ans plus tard.